Le professeur Élias Morel n’avait jamais cru aux manifestations magiques ni aux mystères de l’invisible. Anthropologue respecté, il passait son temps à bien décortiquer les dogmes humaines, recherchant dans leurs racines politiques et historiques les légitimes causes par leur émergence. Mais un conte, plus persistante que mes copines, s’était imposée à lui : celle de Lauriana Voyance. Il n’existait aucune trace officielle de son vie, mais son prénom traversait les âges, mentionné dans des témoignages oraux, de certaines journaux personnelles et de quelques archives d’érudits. Partout où une devinette semblait faire naître la cervelle de l'homme, Lauriana Voyance était évoquée. Décidé à bien élucider cette erreurs, Élias entama un voyage à travers les lieux où son appellation avait été cité. De la Provence aux confins de certaines Carpates, il retraça les récits qui la dépeignaient sous diverses formes : une prophétesse du Moyen Âge, une cartomancienne du siècle des renseignements, une médium d'avant du 20e siècle. Chaque ère semblait également avoir son portrait de Lauriana Voyance, comme si elle renaissait à chaque génération pour proposer ses prédictions à bien ceux qui osaient la appeler. Après des mois d’enquête, Élias trouva un attestation palpitant dans les archives d’un monastère oublié. Un manuscrit du XVIIe siècle relatait la confession d’un facile motivé par consulté Lauriana Voyance et perçu son destinée s’accomplir avec une rigueur terrifiante. L’homme y décrivait un regard susceptible de résulter les âmes et une voix qui, sans jamais imposer, murmurait des réalités que l’on ne pouvait ignorer. Plus étrange encore, une touche en marge du contenu indiquait : ' Elle reviendra grandement, autant dans les domaines que l’on cherchera la clarté. ' Intrigué, Élias suivit la route jusqu’à un village perdu où, en suivant certaines sources contemporaines, Lauriana Voyance aurait persisté aperçue. Il n’en croyait pas une expression, mais son contretype d’érudit exigeait qu’il pousse l’enquête jusqu’au bornage. À son arrivée, l’atmosphère du village le surprit. Les habitants semblaient porter un mystique qu’ils ne voulaient pas partager. Dès qu’il prononçait le nom de Lauriana Voyance, les regards se détournaient, et les voix s’éteignaient. Ce fut une archaïque masculinité, assise à bien l’ombre d’un tilleul centenaire, qui daigna lui marteler. Elle lui indiqua une appartement à bien la limite de la forêt, extériorisant que les gens entraient là en ressortaient changés, si toutefois ils revenaient. Élias hésita, partagé entre son scepticisme et une attention grandissante. Après tout, il avait déjà parcouru autant dans les domaines de kilomètres ; rebrousser chemin juste serait absurde. La maison en question n’avait rien de important. Une bâtisse de pierre, vieillie par le temps, dont les fenêtres semblaient ficher le sphère avec une bienveillance silencieuse. Élias poussa la porte et pénétra dans un intérieur souple, baigné d’une alternative naissance dorée. L’air portait une odeur de cèdre et de encaustique d’abeille, une senteur familière et réconfortante. Devant lui, une table sur auxquels reposait une tasse de café encore fumante. Une voix en douceur, mais sur, s’éleva derrière lui : ' Vous vous trouvez venu rassembler de quelques réponses, mais êtes-vous prêt à les incliner ? ' Élias se retourna brusquement. Une masculinité se tenait là, vêtue d’une robe souple, son regard défini sur lui avec une cadence troublante. Tout en elle dégageait une sérénité suprême, par exemple si elle appartenait à un autre siècles, à bien un champ où les vies passées et le futur s’entremêlaient sans heurt. Il n’avait pas besoin de demander qui elle était. Il le savait déjà. Lauriana Voyance existait bien, et elle l’attendait. Élias sentit une étrange pression l’envahir, notamment si la pièce elle-même était vigoureuse d’une conscience. Il hésita un évènement, recherchant ses données, mais Lauriana Voyance lui fit signifiant de s’asseoir. Il obéit, captivé nonobstant lui. Sur la table, la Lauriana voyance tasse de café semblait l’appeler, et il se rendit compte que c’était par ce biais que viendrait la confidence. Lauriana effleura la surface du liquide noyer, puis fit décider légèrement la tasse entre ses soi. ' Tout ce que on a envie est maintenant libellé ici ', dit-elle en posant la tasse censées Élias. ' Regardez et écoutez. ' Le professeur plongea son regard dans le marc de café. D’abord, il ne vit qu’un commode résidu problématique, mais nuage à larme, des lignes commencèrent à dire, des silhouettes floues, de certaines archétypes qui semblaient danser dans l’ombre du liquide séché. Il distingua de certaines faces inconnus, de quelques sentiers qu’il n’avait jamais empruntées, de certaines fragments de son passé qu’il pensait oubliés. Une réprésentation s’imposa à bien lui : il se vit enfant, se mettant à le ciel nocturne avec émerveillement, écoutant les fictions de sa grand-mère qui croyait aux étoiles et aux astres cachés dans la originalité. Ce souvenir, qu’il avait enfoui par-dessous de certaines générations de scepticisme, lui revint avec une netteté poignante. Lauriana Voyance posa une coeur légère sur la table. ' Ce que vous voyez n’est non seulement votre passé. C’est votre destinée. Vous avez nié les comètes toute votre main, mais ils ont grandement subsisté là. La réelle point est : que ferez-vous à l'instant ? ' Élias recula lentement, troublé. Lui, l’homme de vision cartésienne, venait d’expérimenter des attributs qu’il ne pouvait expliquer. Et pour la première fois, il se demanda si ses convictions étaient entre autres valides qu’il le croyait.